jeudi 24 décembre 2015

Olentzero

Olentzero





Olentzero ou Olentzaro c'est le moment de Noël symbolisé par ce personnage de charbonnier.Le terme basque serait bien antérieur aux fêtes chrétiennes et correspondrait aux fêtes païennes associées aux solstices d'hiver. Aujourd'hui la tradition basque perdure.


Olentzero  c'est le nom donné à la période de Noël comme à ce personnage de charbonnier.





Dans la tradition basque, le charbonnier Olentzero travaille dans les forêts des montagnes basques : de la Basse Navarre jusqu’en Biscaye en passant le Guipúzcoa, le Labourd et l’Alava. 

Annonce du renouveau de la Nature
Il y construit des charbonnières pour produire du charbon de bois. Cadeau apprécié en hiver, pour se réchauffer. Outre l’idée de ce présent offert à Noël, Olentzero est lié au rite du solstice d’hiver. Il annonce le retour prochain du printemps et le réveil de la nature. Trop païen pour l’Eglise chrétienne, qui en a fait le messager de l’annonce de la naissance du Christ !

Le personnage
Dans l'imaginaire basque, on représente Olentzaro sous les traits d'un personnage un peu grotesque, sale, grossier, qui fait son apparition la nuit de Noël. Il apparaît avec un bouquet d'ajoncs, une faucille à la main. On le dit glouton, et qu'il entrerait dans la maison la nuit de Noël par la cheminée...
Dans certaines fêtes de villages, c'est un mannequin de paille et de chiffons que l'on promène de maison en maison.

Olentzaro et le Noël chrétien
De nombreux chants basques de la Nativité illustrent ce rôle d’Olentzero : "Quand il entendit que Jésus était né, il descendit de la montagne pour en avertir les gens." Les esprits, les dieux et surtout la déesse Mayi, la Terre mère de l’ancienne religion et du "temps d’avant", se réfugièrent alors dans des grottes et gouffres (qui portent souvent leurs noms). On dit qu’ils rencontrent encore les "Basques qui le veulent et qui croient". Car en langue basque, selon un vieux dicton : "Tout ce qui a un nom, existe".
C’est d’ailleurs ainsi que se nomme le parc thématique consacré à la mythologie basque et à Olentzero, à Mungia en Biscaye.


Depuis une quarantaine d’années, avec le renaissance de la culture et de la langue basques, le personnage attachant, adoré des enfants, partage la nuit du 24 décembre avec le Père Noël.


Source (pour approfondir)

mardi 8 décembre 2015

Le branle d'Ossau






Quand il est branlo baish (littéralement " branle bas ", c'est à dire de peu d'élévation dans les amplitudes du mouvement dansé), le branlo n'est exécuté que lors de la fête patronale, plus rarement lors des mariages, et sa fonction est strictement cérémonielle (Lo branlo baish). Quand il est dit airejan (aérien), l'adjectif qui le qualifie indique assez le caractère éminemment léger et " suspendu " que les danseurs impriment à leur mouvement (L'Airejant). Réservé à tous les moments de sociabilité (fêtes patronales, mariages, bals, départs et retours de la transhumance, rassemblements familiaux), il est dans ce cas l'expression la plus éclatante du goût des Ossalois pour la danse et de l'importance qu'ils attachent à cet exercice, et c'est plutôt sur ce dernier que nous mettrons ici l'accent. Une troisième façon de danser le branlo a autrefois existé à Laruns, le plus gros bourg de la vallée. Appelé Faranlà, son usage était réservé à la soirée du Mardi-gras. Fonctionnel en quelque sorte, il mariait deux exercices, la danse et le passacarrèra (passe-rue), et permettait à la population, toutes générations confondues, de rallier en bon ordre le centre du bourg. Le Faranlà est depuis les années 1980 l'objet d'une reprise dont l'initiative revient à Aussau Tostemps, association de Laruns.

L'airejan

Le branlo airejan, quant à lui, est une danse mixte, longtemps pratiquée en chaîne ouverte circulaire susceptible d'accueillir un nombre indéfini de danseurs et qui a récemment évolué (début XXème s.) vers des dispositifs moins achalandés : tronçons de chaîne de six à huit danseurs d'abord, puis couples mixtes autonomes disposés en cortège sur un arc de cercle (entre-deux-guerres), les danseurs restant dans ce cas, et malgré une plus grande liberté de mouvement, très attachés à l'esprit et à la configuration de la danse originelle. Dès lors, c'est un couple qui ouvre le cortège, lequel se déploie toujours vers la gauche, dans le sens des aiguilles de l'horloge.
Le chant a longtemps été le support musical privilégié du branlo, les danseurs puisant pour ce faire dans le vaste réservoir des branles chantés de la vallée (Vila de Castetnau). Se répondant d'une moitié de la chaîne à l'autre (Rossinholet qui cantas), ou les femmes répondant aux hommes, les participants ont longtemps fondu les deux exercices en un seultémoignant ainsi de la parenté évidente du branloavec ses lointains ancêtres, les caroles et les branles. Depuis une époque relativement récente (l'immédiate après-guerre), les danseurs ne s'accompagnent plus eux-mêmes au son de leur propre voix, déléguant ce soin aux instrumentistes présents, lesquels, dans la majorité des cas, privilégient les larges possibilités, tant sonores que rythmiques, offertes par le couple flabuta/tamborin (flûte à trois trous, ou à une main, et tympanon à cordes). Lequel couple instrumental est depuis longtemps présent dans la vallée, comme en témoignent les lithographies du XIXème s. représentant des danses en chaîne. Ce qui semble accréditer l'idée selon laquelle accompagnement vocal par les danseurs et accompagnement instrumental, ici comme dans la société trraditionnelle en général, ont longtemps existé de pair.

Pas et mouvements

Nous ne pouvons pas rentrer ici dans le détail de la description du pas du branlo airejan – écrire " le pas " au singulier est déjà un peu réducteur, tant nous avons constaté une grande diversité dans le traitement des appuis – , cela nécessiterait de trop longs développements. Bornons-nous à préciser qu'il se déroule selon une unité motrice qui utilise une phrase musicale de huit temps (soit quatre mesures de rythme binaire), et qu'il se répète de façon uniforme tout le temps que durera la danse. Dans sa forme actuelle – couples autonomes disposés en cortège sur un arc de cercle – le branlo offre au regard, des pas qui diffèrent selon le sexe de l'exécutant, l'homme effectuant, sur les huit temps, deux rotations, l'une vers sa cavalière, l'autre en sens inverse, laquelle le replace dans sa position initiale. La femme, elle, se tient tout au long dans sa position de départ. Ainsi le danseur et la danseuse évoluent droit devant eux sur les quatre premiers temps, pour danser quasiment sur place, et en face à face, sur les quatre temps suivants. Et ainsi de suite.
S'il y a singularité, c'est dans le mouvement dansé qu'il faut aller la chercher. Le tempo relativement lent du branlo airejan (il est sensiblement moins rapide que celui des rondeaux de Gascogne, par exemple, avec lesquels le branlo ossalois offre de très réelles similitudes), permet aux danseurs d'exprimer sans avoir à se hâter les grandes caractéristiques de leur gestuelle, laquelle obéit à une respiration rythmique immuable qui enchaîne, sur les deux temps de la mesure, une pulsation longue et deux pulsations brèves. En outre, au moment de s'engager dans l'espace, puis à intervalles réguliers au début de chaque mesure, les danseurs vont s'aider d'une propulsion de la jambe porteuse pour donner à leur mouvement ce caractère " aérien " qui est non seulement la marque du branlo dit airejan, mais aussi des sauts pratiqués dans la vallée. En effet, par la grâce de cet élan initial sans cesse renouvelé, ce transfert dynamique du corps d'une jambe vers l'autre (lequel nécessite un fléchi de prise d'élan de la jambe qui effectue la poussée, puis la propulsion proprement dite, puis enfin un fléchi d'amorti sur l'autre jambe, celle qui assure la réception), le ou les appuis suivants vont pouvoir s'effectuer sur l'avant-pied, créant ainsi cette impression de légèreté, de fluidité. Le mouvement est sans cesse " élancé ", en quelque sorte, comme " suspendu ", créant ainsi l'illusion de se jouer par instant de la pesanteur.
Il n'est sans doute pas inutile d'ajouter que cette singularité gestuelle du branlo airejan a fait que sa réputation a, depuis une ou deux décennies, largement dépassé les limites de son aire natale, où les Ossalois continuent de lui vouer une vénération qui reste très vive. Partout où on témoigne aujourd'hui de l'intérêt pour les danses, les musiques et les chants issus de la tradition le branlo airejan jouit d'une réelle, voire grandissante considération.
Depuis 1983, Aussau Tostemps a réintroduit la tradition du Faranlà à Laruns. Le soir du mardi-gras, il est dansé sous la halle, en chaîne et accompagné à la voix par les danseurs eux-mêmes. Au cours du buffet qui s’ensuit, il est à nouveau dansé, de même que des branlos airejans. Les chants polyphoniquesparachèvent la fête, comme c'est l'usage en Vallée d'Ossau (information communiquée par Jean-Jacques Castéret).

LES CERCLES D'OSSAU - Dolmens et cromlechs en Vallée d'Ossau

LES CERCLES D'OSSAU - Dolmens et cromlechs en Vallée d'Ossau

Site de recherches ethnologiques sur les Cromlechs de Lous Couraus et de la Vallée d'Ossau


Les Cercles d'Ossau
Lien du site

Les Cercles d'Ossau - Turoun de la Técouère

Les Cercles d'Ossau - Turoun de la Técouère


 


Les Cercles d'Ossau

Le plus grand calculateur de positions astrales du monde en tant que fronton de mire Nord-Sud.

Plus d'info / More info :

http://cromlechs-ossau.blogspot.fr/

http://cromlechs.ossau.free.fr/


LES CERCLES D’OSSAU

GÉOGRAPHIE SACRÉE. CARNETS DE RECHERCHE AVRIL 2012.


E.L. Ethnologue. Photographe.

Mise en page : Le Webmaster

Carnets de recherche numéro 05

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Thèse

"Ma thèse audacieuse est que les villages de la Vallée d'Ossau répondent à un « urbanisme » déjà en germe au néolithique, en rapport avec des positions solaires remarquables - voire lunaires - dans l’axe d’observation du plateau du Bénou face au Sud.
Plusieurs champs doivent être observés et confirmés scientifiquement (astronomie, topographie, archéologie) et il ne s'agit là qu'une esquisse de départ, cependant mon intuition et de nombreuses heures d'observation, m'incitent à penser que je suis dans le juste.
Cette thèse et les présentes recherches corroborent les observations déjà effectuées sur d’autres sites en Angleterre ou en Écosse (voir plus haut) en faisant apparaître des lignes remarquables d’alignements à partir de triangle à base pythagoricienne, cependant ici, elle est révolutionnaire car elle met en avant un positionnement des villes-villages de la Vallée d’Ossau selon ces mêmes axes sur de larges distances.
Ma thèse tente à prouver - à confirmer pour certains -, que les habitants au néolithique de la Vallée d’Ossau connaissaient la triangulation et le calcul astral, donc la mesure du temps à partir de la géographie sacrée du site.
Elle confirme aussi que les cromlechs d’Ossau peuvent être considérés comme le plus grand calculateur de positions astrales du monde en tant que fronton de mire Nord-Sud."

E.L.

Plus d'info / More info :

http://cromlechs-ossau.blogspot.fr/

http://cromlechs.ossau.free.fr/

mardi 27 août 2013

LE MÉGALITHISME EST NÉ À LASCAUX

 LE MÉGALITHISME EST NÉ À LASCAUX

Blog à lire absolument !

L'incroyable découverte du chercheur ethnologue E.L., remettant en question 10 000 ans d'histoire de la pensée.

Actuellement peu suivies les théories de ce chercheur sont explosives, ce qui lui vaut la "cabale" de ses pairs et de nombreux ennuis administratifs ainsi que professionnels.

Nous lui apportons ici tout notre soutien !


Consulter le blog

Lire l'article de la République des Pyrénées

Consulter les recherches de l'auteur concernant "la Baguette d'Arudy" (Magdalénien)

Consulter les recherches de l'auteur concernant la Vallée des Merveilles

Contacter l'auteur (Facebook)
  

dimanche 18 décembre 2011

Le Panthéon pyrénéen

Les auteurs nous assurent que « les Dieux demeurent sur les montagnes ». Nous n’en avons jamais douté. Nos Pyrénées ne font pas exception à toutes les montagnes du monde « dont les sommets ne soient habités par un panthéon de divinités » (1).

Géants, génies déchus, diables et démons, dragons et serpents, païens ou sorciers ne peuvent être contrebalancés par les esprits familiers ou les saints successeurs des Dieux. Il faut découvrir ce monde pyrénéen où l’altitude est sacrée, où les sommets des pics neigeux doivent rester inviolés par crainte d’un sort collectif funeste jeté sur toute la vallée. En ce temps-là, Abellion, le dieu-Soleil, illuminait l’azur « transformé en voûte céleste par le christianisme qui en fera le manteau bleu de la Vierge bigourdane ». Et de se demander, très justement, si nous connaissions le dernier avatar des déesses mères d’origine ?

Peut-être pas. Affirmer que la montagne est le lieu de rencontre des dieux et des hommes parait une évidence si l’on ne veut pas passer pour un iconoclaste. Mais où se trouvent-ils ?

Au sommet du Canigou, nous affirme Pierre III d’Aragon, depuis le XIIIe siècle. En Béarn, au pic du Midi d’Ossau, certifie le seigneur de Foix-Candale, en 1581. Au pic d’Anie ou Ahunamendi écrit le savant dacquois Charles de Borda. Au Mont Perdu, racontent les habitants des vallées de Barèges qui virent Ramond de Carbonières faire pacte avec le Diable, à la fin du XVIIIe siècle. Des preuves de toutes ces affirmations ?

Le pâtre légendaire Millaris qui illustre le mythe des apparitions, de la Catalogne à l’Euskadi et la « Croutz de Béliou », au-dessus de sa tombe, dans la vallée de Lesponne, dans les Hautes-Pyrénées, Baïgorrix, dieu des sources, retrouvé en 1897 aux sources béarnaises de Lurbe-Saint-Christau, le masque de bronze du dieu Ergé découvert sur le mont Marteau, dans les Hautes-Pyrénées, l’autel votif au dieu Abellion dans l’église de Saint-Aventin, dans la Haute-Garonne, la pierre d’Oô, au musée des Augustins, qui pourrait illustrer la légende de la belle Pyrène séduite par le puissant Hercule. Pas encore convaincus ?

Alors il faut vous pencher sur les récits de la mythologie pyrénéenne. La légende des Jentils - païens - d’Euskadi qui agissent depuis le col d’Argaintxabaleta, de Mari, déesse suprême des Basques, qui commande à la pluie, à l’orage, à la foudre et la grêle, de Roland, fier-à-bras des Pyrénées, successeur d’Hercule, de Tantugou, géant sylvain du pays luchonnais, de Basa Jaun, des forêts de Haute-Soule et de sa compagne Basa Andere, de Yauna Gorri - seigneur rouge - dans les vallées d’Aspe et de Barétous, des « Peyras deras Hadas », au-dessus d’Argelès-Gazost, habitées par la Dauna du Balandraou, des sept frères de Setcases qui vivent sur les hauteurs du Pla dels Hospitalets. Comme dit le paysan du Couserans « Ici, on ne croit pas, on craint ». Magnifiquement illustré, cet ouvrage érudit est un trésor de notre mémoire collective.

(1) « Panthéon Pyrénéen » - Olivier de Marliave - Illustrations de Jean-Claude Pertuzé - Editions Loubatières, à Toulouse - octobre 1990.

Source

samedi 17 décembre 2011

L'ibère et le basque : recherches et comparaisons

Les inscriptions en langue ibère trouvées principalement dans l'est de la péninsule ibérique en région valencienne et environs, un peu dans le sud-est de la France, forment aujourd'hui d'après L. Silgo Gauche qui les a rassemblées et analysées dans ses travaux, un corpus d'environ 1700 textes ou notes de longueur très variable, la plupart réduites à un seul mot il est vrai, relevées sur des céramiques, des monnaies, des ustensiles ou des plombs. L'ensemble des découvertes aboutit sous la plume de L. Silgo Gauche, et de quelques autres spécialistes modernes, à une forme renouvelée de ce qu'on a nommé le « basco-ibérisme », à savoir que la langue basque, qui, malgré son ancienneté de plusieurs millénaires admise par tous, n'est connue avec quelque précision que depuis moins de 1000 ans et de manière complète moins de 600, comporte bien des éléments, phonétiques, morphologiques, lexicaux identiques à ceux de l'ibère antique, et qu'elle peut ainsi aider à comprendre, une fois la lecture des inscriptions en ibère bien établie, le contenu de plusieurs d'entre elles.

Par Jean-Baptiste Orpustan.

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lundi 12 décembre 2011

Lascaux, le ciel des premiers hommes

25 000 ans avant les débuts avérés de l'astronomie, nos ancêtres Cro-Magnon observaient déjà les mouvements complexes du soleil, de la lune et des principales constellations. Et consignaient ce savoir astronomique sous la forme d'animaux peints dans l'obscurité des cavernes. Cette hypothèse révolutionnaire est de nature à bouleverser nos conceptions sur les origines de l'art, les savoirs et des croyances des hommes préhistoriques. En faisant revivre les gestes et les rites de nos ancêtres, en dévoilant des sites majeurs de l'art rupestre, le film propose une plongée captivante au cœur de la préhistoire. Donnant la parole aux meilleurs spécialistes pour débattre de cette nouvelle théorie, il convie le spectateur à une enquête passionnante, entre grottes, abris ornés, musées de préhistoire, laboratoires de recherche et planétariums astronomiques.

Partie 1




Partie 2



Partie 3



Partie 4

dimanche 11 décembre 2011

Le dictionnaire des termes du vieux françois ou Trésor de recherches et antiquités gauloises et françoises

Pierre Borel est un médecin, botaniste et érudit français, né vers 1620 à Castres (actuel département du Tarn) et mort le 14 octobre 1671 à Castres.

Il écrit le dictionnaire des termes du vieux françois ou Trésor de recherches et antiquités gauloises et françoises, Briasson (Paris), en 1750.

Lire et télécharger ici

Source : Gallica

lundi 5 décembre 2011

Le Livre de Chasse de Gaston III Phebus




Le Livre de chasse fut rédigé, ou plus exactement dicté à un copiste, de 1387 à 1389 par Gaston Phébus, comte de Foix. Cet homme à la personnalité complexe et à la vie mouvementée, que l’historien Jean fraoissart évoque dans ses célèbres Chroniques était, comme tous les seigneurs du Moyen Âge, un grand chasseur et un grand amateur d’ouvrages de vénerie et de fauconnerie.;Le Livre de chasse est un livre de vénerie médiévale composé entre 1387 et 1389 par Gaston Fébus (1331-1391), comte de Foix et vicomte de Béarn et dédié à Philippe le Hardi, duc de Bourgogne.

Il est consultable en cliquant ici.

Source : Pyreneas